C’est dans le cadre d’un projet des archevêques américains relatif à l’interdiction de communion aux dirigeants qui prônent l’avortement que le pape a fait parler de lui récemment. Parlant justement des dirigeants, Joe Biden est la première personnalité qui se trouve dans le viseur de ce projet. Ce que l’autorité pontificale a franchement remis en cause. Plus de détails dans cet article.
»l’Eglise n’avait pas vocation à prendre position politiquement » la réaction du pape
Le souverain pontife n’a pas pris par quatre chemins pour s’opposer au projet visant à priver les dirigeants qui encouragent l’avortement du communion, bien qu’il soit lui-même contre de telles pratiques. En effet, il n’y a aucune raison à donner une vocation politique à la maison de Dieu, à laissé entendre le pape. « Que doit faire le pasteur ? Être un pasteur, ne pas condamner », y compris « les excommuniés », à fait comprendre l’homme de Dieu qui était loin de vouloir faire un commentaire direct sur les polémiques autour d’une église américaine souvent manifeste dans la vie politique. Pendant qu’il était dans l’avion qui le ramenait d’un voyage où il était en Slovaquie et à Budapest, le souverain pontife à réprouvé les pages historiques de l’Eglise à l’instar de la nuit de la Saint-Barthélemy marquée par la chasse aux sorcières et aux hérétiques.
« Qui pratique l’avortement, tue », a désapprouvé l’homme de Dieu
Tout en fustigeant l’interdiction de la communion aux dirigeants, le pape a dans le même temps fait savoir à nouveau son horreur de la pratique de l’avortement qu’il qualifie d’ailleurs d’acte meurtrier. En effet, toute personne qui s’adonne à l’avortement tue, sans demi-mesure. Dans tout livre traitant de l’embryologie pour les étudiants en médecine, la plupart des organes sont déjà en place, même l’ADN. Autrement dit, c’est déjà une vie humaine qui doit donc être respectée, a expliqué clairement le pape.
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